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Re:ZERO -Starting Life in Another World-, Vol.23

Fin de lecture : 23/02/2024

Ça m’a pris plus de temps que d’habitude pour le lire et depuis j’ai oublié exactement mon ressenti… 

Je dirais laborieux par rapport au prémisse du volume, mais intéressant justement avec ce prémisse. On ressent bien qu’il y a quelque chose qui s’est passé qui a fait que les choses sont ainsi et que Shaula n’est pas si innocente/ignorante dans tout ça, mais le volume pose bien les base pour qu’on puisse repartir à nouveau sur le prochain et aborder les choses peut-être différemment.

Volume suivant qui sort ce mois-ci d’ailleurs.

RESTARTING IN A NEW WORLD—AGAIN?! Subaru Natsuki is an unremarkable high school boy who lives an unremarkable life in Japan. Of course, all that’s about to change now that he’s woken up in a fantasy world for the first time! There’s something strange about this, though. Everyone seems to already know him, and for some reason, they’re all expecting him to figure out how to overcome the challenges of this weird tower. Who is this fantastical hero they all see when they look at him, and why does he sound nothing like boring old Subaru?

Le fait de recommencer était perturbant mais le plus intéressant était du coup la vision qu’avait Subaru du Subaru “original”, qui en fait allait souvent de pair avec des réflexions que l’on peut se faire à son sujet. Bon après il le démonise ce qui n’est pas bon et fait que des choses tournent mal, mais on comprend ses réactions et le fait de vouloir fuir tout ça, vu que pour lui rien ne s’est passé et que cela ne le concerne pas.


Curieux de la suite donc quand même, même si j’avoue que je suis un peu en overdose de la série.

Auteur : Tappei Nagatsuki – Illustrations : Shinichirou Otsuka – Editeur : Yen Press – Publication : 2020/2023

Fin des résumés

Changement de procédé à partir des posts qui vont suivre celui-ci, notamment en ce qui concerne les light novels. J’en ai beaucoup à lire et j’en lis moins, non pas par perte d’intérêt (parce que là j’ai lu deux/trois romans pas fous non plus) mais par manque total de motivation à en faire un résumé. Et ce manque de motivation sur des séries en cours et pas très complexes me bloque à attaquer ou à reprendre certaines séries.

Par exemple Ascendance of a Bookworm qui est tellement dense que je n’ose pas imaginer résumer un volume, et je n’ose pas non plus aborder The Saga of Tanya the Evil (dont j’ai lu il y a quelques années les deux premiers) ou encore Legend of the Galactic Heroes, qu’à peine on l’ouvre il y a deux pages qui listent sur deux colonnes les personnages principaux. J’ai aussi Baccano! que je voudrais reprendre, tout comme Durarara!! un jour, mais l’auteur fait tellement d’allers retours que là non plus ça n’est pas évident.

Du coup pour les light novels, je pense poser la 4ème de couverture en spoiler (parce que ça spoile mine rien), et mon ressenti à part (en spoiler ou pas selon ce que j’ai à dire).
Pour les romans je vais rester dans le même procédé : 4ème de couverture + ressenti.

A la base je fais ça pour moi (surtout les résumés), mais me disais que ça pouvait aussi servir à d’autres. N’en n’ayant pas l’impression, je vais faire en parallèle un fichier personnel avec des points importants de notés au besoin, juste pas mis en forme et qui font trois pages.

Sinon j’ai moins lu en février parce que j’étais occupé à jouer aux trois Apollo Justice, ce qui dans un sens était aussi de la lecture vu le genre du jeu.
Et là je suis sur Final Fantasy VII Rebirth, mais ça influe surtout sur les potentielles lectures des congés et du week-end. Je lis toujours le matin et le soir.

Voilà. A voir aussi après si je continue ou pas ou me contente de mon fichier. Je vais me laisser une année pour voir venir ce qu’il advient au global du site (celui-ci et le principal qui est au point plus que mort depuis 2020).

The Sign of the Four

Fin de lecture : 16/02/2024

Le Signe des Quatre

Second roman de Sherlock Holmes. Mieux que le précédent/premier dans le sens où on n’a pas toute une seconde partie à part pour nous raconter l’origine de la chose, mais il y a quand même grand monologue explicatif sur ce point à la fin. Mais ça passe beaucoup mieux, bien qu’on sente l’époque d’écriture.

Ici on plante le vrai personnage de Sherlock aussi : celui qui se drogue. Et niveau histoire, on a Mary Morstan qui vient consulter Holmes car depuis la disparition de son père elle reçoit chaque année une perle, et cette année elle a eu une note lui demandant une rencontre. Lui étant indiqué qu’elle peut venir accompagnée, elle sollicite donc le détective, qui se verra accompagné de Watson, qui au passage est tombé sous le charme de la demoiselle. S’ensuit un mystère lié aux Indes, avec une résolution ma foi assez abrupte au niveau Holmes/Watson.

Bon mystère avec encore une fois l’incompétence de Scotland Yard démontrée (on se pose clairement la question de combien d’innocents sont enfermés et combien de criminels courent libres) et des ramifications lointaines. Ça fait d’ailleurs deux romans dont l’origine des faits vient d’ailleurs et non pas directement d’Angleterre tiens.
Et j’ai l’impression que malgré qu’il soit bon avec mystère, action et tout, je me suis moins senti dedans que sur la lecture de la première partie du précédent. Bizarre.

Sinon j’ai eu un flash “Hastings, sort de ce corps” par rapport à Watson, bien que ça devrait être dans l’autre sens chronologiquement. Mais ceux qui ont lu de nombreux Christies et ce livre comprendront.

Pour la suite si je lis dans l’ordre de ma collection, j’ai d’abord trois recueils de nouvelles à passer avant d’arriver au roman dont je me souviens le plus, The Hound of the Baskervilles. Sauf que je vois aussi ailleurs : deux recueils puis le roman, puis recueil, puis dernier roman puis deux derniers recueils. A voir.

Auteur : Sir Arthur Conan Doyle – Éditeur original/lu : Spencer Blackett/Barnes & Noble Inc – Publication : 1890

The Hundred-Year-Old Man Who Climbed Out of the Window and Disappeared

Fin de lecture : 12/02/2024

Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire

Alors oui il ne voulait pas forcément fêter son anniversaire là où il était, mais je vois pas l’intérêt de partir à l’ouest pour la traduction du titre. Perso j’ai plus envie de lire les aventures du centenaire qui enjambe sa fenêtre et disparait que du vieux qui a l’air de ne pas vouloir fêter son anniversaire. Au moins ça m’intrigue.

Enfin bon, passons ce point et on se retrouve donc avec notre centenaire qui s’échappe de la maison de retraite le jour de ses cent ans juste avant qu’on vienne le chercher pour fêter l’événement et qui, fidèle à sa conduite tout au long de sa vie que l’on verra en parallèle à son échappée rocambolesque, prend des décisions qui l’amènent dans des situations parfois de pire en pire, et qui parfois l’aident.

Très rocambolesque donc, et vu qu’il a cent ans et que ça se passe en 2005 on parcours pas mal de périodes dans lesquelles il a joué un rôle qui a touché aux grand événements du siècle passé, mais personnellement je n’ai pas trouvé ça drôle dans le sens où j’ai peu rit. J’ai surtout continué pour voir comment ils allaient s’en sortir et jusqu’où ça pouvait aller, pas parce que parce que j’étais pleinement happé par l’histoire. Sinon j’aurais aussi mis moins de temps pour le terminer.

Ça se lit pour le style particulier et le wtf limite constant, mais je ne pense pas lire la suite.

Auteur : Jonas Jonasson – Éditeur : Hesperus Press – Publication : 2009/2012

Deeds and Words: A Sapphic Historical Mystery

Post publié le 11/02 mais antidaté pour correspondre vers la fin de lecture (03/02)

Second volume des aventures de Louisa et Ada… et j’ai moins aimé que le premier.

4ème de couverture en anglais vu que pas sorti en français :

June 1913
Leeds, England.

When a man is shot dead in an alleyway and a suffragette arrested for the crime, Louisa Knight and Ada Chapman are once more pulled into a case that hits too close to home. It’s not long before they’re mired in both the investigation and their local branch of the WSPU.

Amongst the suffragettes, they’ll find dedicated women fighting to secure the vote through whatever means necessary, but also missing money, blackmail threats, and an unexpected familial connection.

As questions arise and doubts surface, they not only have to face a difficult investigation, but a reckoning with their part in the suffrage movement.

C’est le sujet en fait qui m’a bloqué je pense. Je comprends la lutte, je comprends la demande (légitime) d’avoir le droit de vote mais j’ai du mal avec la méthode employée par le WSPU.
En plus par rapport à l’histoire en elle-même, l’enquête, elle est mêlée au sujet des suffragettes, mais la moralité est moins convaincante pour moi que dans le précédent. Chaque fois qu’une chose vient changer la donne limite ça se met en pause en mode “mais est-ce que ça nous concerne encore”, avant qu’un nouvel élément arrive qui fasse que “ah oui ça touche à quelqu’un que je connais et que je dois défendre pour x raison, donc je m’y remets”. Et au milieu de tout ça d’autres sujets viennent s’accrocher et encore une fois les personnages agissent parfois sottement, bien qu’humainement du coup parce que vu les caractères de nos deux protagonistes, forcément parfois ça coince.

Je sais pas du coup. J’ai eu l’impression que trop de sujets étaient embarqués au détriment de l’enquête, mais de base elles ne sont pas détectives non plus, donc ça n’est pas leur domaine en gros. Je suis mitigé. Je n’ai peut-être pas l’état d’esprit pour m’attacher et comprendre les personnages sur ce volume.

Reste que si jamais l’auteur continue leur histoire et reste dans la chronologie temporelle, le prochain risque d’être en 1914… et je suis pas fan de la période guerre.
Bon au moins il y aurait pause sur les suffragettes vu que le mouvement s’était posé à cette période, Emmeline Pankhurst et sa fille l’ayant fait stopper car comprenant la menace allemande.
Au passage en étant retournée cherché son nom, je fais mieux le lien avec le titre du coup (en plus des couleurs), le WSPU étant dans l’optique de “deeds, not words” (des actes, pas des mots).

A voir donc si un prochain sortira et sur quelle période. J’avais eu du mal avec The Night Watch de Sarah Waters qui est pendant la seconde guerre mondiale aussi.

Auteur : Sarah Bell – Éditeur : Autoédition – Publication : 2023

The Unwanted Undead Adventurer, Vol.12

Post publié le 11/02 mais antidaté pour correspondre vers la fin de lecture (30/01).

Évidemment depuis le temps j’ai un peu oublié, mais je me souviens qu’en gros ça n’avance pas vraiment l’histoire principale vu que l’essentiel du volume est centré sur Rina.

Globalement le livre se découpe en plusieurs parties et on alterne les sujets.

Ch 1 : On est avec Rentt et Lorraine et on reprend directement à la fin du volume précédent, avec Elza qui comprend qu’ils ont le pouvoir de divinité.
Le plus intéressant dans le chapitre est qu’elle mentionne que de plus en plus de Saints apparaissent, et avec des pouvoirs de plus en plus importants pour certains. Pour Elza, c’est le signe que quelque chose à grande échelle se prépare.

Plus tard, sortant la nuit car il ne dort pas, Rentt est attaqué par un vampire faisant parti des ennemis de Laura, le roi des vampires Arc Tahadu. Il est sauvé par leur chauffeur, vieux vampire qui les accompagne aussi par sécurité. Du coup ça baisse encore la confiance que Rentt a en lui.

Le lendemain, ils repartent pour Maalt en compagnie de Jean, le grand maitre de guilde, qui en fait file à l’anglaise et néglige encore une fois ses responsabilités.

Ch 2 : On retrouve Rina et Alizee qui s’entrainent avec le spartiate Isaac, et vu que Rina n’a pas l’impression de progresser il lui conseille d’aller prendre une quête, sans lui dire qu’ainsi elle verra mieux ses progrès vu que forcément en s’entrainant toujours contre plus fort que soit, on n’arrive pas à voir la progression.
Elle prend la quête de Dorothea, une marchande à qui il arrive toujours des mésaventures, et après discussion celle-ci accepte de l’engager.

Intermission : Rentt ramène un miroir d’une expédition et le montre à Lorraine. Il pensait qu’il s’agissait d’un simple “miroir de jeunesse” qui permet de se revoir jeune dedans, mais en fait les personnes bougent dedans. Ils observent tous deux avant de se faire aspirer à l’intérieur.
En fait il y a un démon dans le miroir qui leur fait voir ce qu’ils auraient pu être ou voudraient être, et qui emprisonne les gens ainsi. On voit donc ce qu’aurait pu être l’avenir de Lorraine si elle était restée à étudier plutôt que d’aller à Maalt, mais vu qu’elle comprend ce qu’il se passe et qu’elle est satisfaite de son sort actuel, elle réussit à se défaire de l’emprise et élimine le gobelin. De son côté, Rentt profitait à fond de son avenir d’aventurier de rang Mithril.

Ch 3/4 : On retourne sur Rina et Dorothea qui font connaissance. Rina trouve qu’elle attire un peu trop les malheurs (comme quelqu’un d’autre qu’elle connait) et pense que c’est louche. Elle élimine les personnes qui les attaque sauf leur leader, et au bout du compte et en le manipulant, il s’avère que c’est la personne qui aurait dû être fiancée à Dorothea qui est à l’origine de tout, Dieg. Ou plutôt la personne qui l’accompagne en tant que mage, et qui est en fait une vampire.
Rina la vainc et obtient des explications : en fait Amapola est sans maître depuis qu’elle a été changée il y a 70 ans et donc pour survivre a décidé de boire le moins de sang possible et de s’attacher à un humain riche qui pourrait subvenir à ses besoins et la protéger. Et faire se marier Dieg et Dorothea pour qu’il hérite des deux magasins aurait assuré tout ça.
Isaac arrive sur ces entrefaites et au vu de sa survie ainsi pendant tout ce temps, il est décidé de la sauver et de l’ajouter aux serviteurs de Laura. Vu que celle-ci dort, c’est Isaac qui devient son maître en attendant. Ils s’arrangent pour expliquer le tout aux autres pour que Dieg ne soit pas accusé vu qu’il agissait sous influence, et Amapola est “exécutée”.

Au final, Dieg qui a laissé la charge d’hériter le magasin à son frère décide sur suggestion de devenir aussi marchant itinérant, et Dorothea l’invite à partager sa route.
Tout est bien qui finit bien. Dorothea n’hésitera pas à faire appel à nouveau à Rina, laquelle a bien pu voir qu’elle arrivait à se défendre. Quant à Amapola, elle est contente d’être en vie mais son éducation a l’air assez dure.

Ch 5 : Enfin de retour à Maalt, Jean est lâché à la guilde et Wolf qui ne s’attendait pas vraiment à le voir débarquer est perturbé. Il comprend ensuite comment ils ont réussit à le ramener quand Rentt raconte leurs aventures.
Dans les nouvelles récentes, outre le donjon qui s’est formé sous Maalt à cause des événements précédents, un nouveau (naturel ce coup-ci), s’est formé dans une ville non loin de là. Vient ensuite la théorie comme quoi les donjons pourraient donner naissances à d’autres.
Rentt demande également à Wolf quand est le prochain examen pour passer au rang Silver vu qu’il remplit les critères. A priori le prochain est dans un mois, dans une ville minière à cinq jours de voyage, Welfia. Pas sur Maalt étant donné que peu sont amenés à le passer dans la région.

Le lendemain, ils amènent la lettre réponse à Lillian qui va donc beaucoup mieux.
Ils se séparent ensuite et Rentt va voir si son épée est prête, ce qui est le cas. Après il passe la fin du chapitre à la tester sur des mannequins. Après qu’il soit parti, la femme du forgeron lui tend une lettre et après l’avoir lue, il se dit qu’il va devoir faire appel à Rentt plus tôt que ce qu’il ne pensait (Rentt lui avait dit de ne pas hésiter à lui demander son aide).

Rentt cherche ensuite à prendre une quête pour la tester sur des vrais monstres mais se fait doubler sur plusieurs, et se retrouve à accepter celle d’une personne venue parce que son village est attaqué par des squelettes, et qui a du mal à trouver quelqu’un au vu des circonstances actuelles. Il partent donc et il règle rapidement le problème avec l’aide (manipulée pour éviter qu’ils ne se mettent en danger) des villageois présents, mais est conscient qu’il va lui falloir régler le problème à la source, car il y avait plus de squelettes que prévu et certains sont organisés.

Fin

Histoires bonus :
– Une personne âgée demande à Rentt de l’amener à un certain endroit où dans un lac vit un Dragonfish, puis lui demande de plonger pour récupérer des écailles. Il tombe nez à nez avec le dragon qui dit ces mots dans sa tête : “O, ill-starred undead. Struggle against fate to your heart’s content, but do not fall to greed”.
Étant donné que c’est la dernière fois qu’elle devait aller là d’après le journal de famille (10 générations), il est fort possible que c’était pour que Rentt puisse entendre ces mots.
– Un aventurier à la retraite demande une escorte vers un village où il veut finir ses jours à cultiver des fruits. Plus tard, Rentt apprend qu’il est mort en protégeant le village des attaques d’un monstre et qu’il était apprécié de tous, et que ses fruits sont très bons cette année.
– Et dans la dernière Rentt escorte un marchand et ses fils dont le plus âgé doute de tout et tous, dont Rentt. Au final il en vient à le respecter et à lui demander conseils pour devenir aventurier.

Plus qu’à attendre le suivant, en espérant que ça reprenne sur l’histoire principale.

Auteur : Yu Okano – Illustrations : Jaian – Editeur : J-Novel Club – Publication : 2023/2023

A Study in Scarlet

Post publié le 04/02 mais antidaté pour correspondre vers la fin de lecture (26/01).

Une étude en rouge

Comme pour Agatha Christie mais cantonné à Holmes, je compte bien les relire et lire les jamais lus, d’où mon achat de cette intégrale dont la couverture ornera les posts. Je pense que c’est plus les recueils de nouvelles que je n’ai jamais lu.

Mais relire les romans ne fait pas de mal parce que j’avais très peu de souvenirs de celui-ci. Limite que le titre quoi. Il faut dire que si la première partie est très intéressante étant donné que c’est quand même la rencontre de Holmes et Watson et la première expérience qu’on a de Holmes et de ses méthodes (bien que ça ne soit pas le Holmes “final”), la deuxième partie je me suis demandé si j’étais dans le même univers.

Ah c’est sûr, ça m’a appris des choses sur Salt Lake City et son historique mormone mais alors c’était d’un ennui…
Et sur le coup la bascule était telle que je me suis demandé s’il n’y avait pas un problème avec le livre. J’étais content de revenir sur le “présent” après, parce que bon, je suis pas très philosophie mormone, et là en plus ils ne sont pas peints sous le meilleur jour vu l’époque, bien qu’a priori l’auteur se soit par la suite excusé. Au vu de ce que j’ai lu toutefois (spirale Wikipédia) ça peut se tenir parce que c’était pas super quand même, même s’il a peut-être mélangé des faits.

Enfin bon, du coup après la rencontre Holmes/Watson et leur emménagement on a Lestrade et Gregson qui demandent son aide et c’est la première fois que Watson suit Holmes. Le meurtre semble incompréhensible mais Holmes comprend tout et fini par appréhender l’assassin, et c’est à ce moment que se termine la première partie.
La seconde quand à elle remonte dans le passé aux États-Unis pour nous expliquer le pourquoi du meurtre.

Et je comprends la haine du type, j’étais avec lui pour le coup. juste la fin qui m’a fait sourire dans un sens vu que c’est quelque chose qui revient assez souvent dans les Christie.

En regardant la page Wikipédia au niveau des adaptations, je comprends mieux pourquoi j’ai peu de souvenirs du livre vu que souvent la seconde partie n’est pas/peu abordée, ou alors il y a seulement certains éléments qui sont repris de la première.

Et accessoirement, c’est fou comme Gregson est laissé de côté dans les personnages au profit de Lestrade. Il est possible qu’il apparaisse moins dans les autres romans et les nouvelles et que du coup c’est Lestrade qui est passé à la postérité ? Du coup c’est bien qu’en relocalisant la série à New York, Elementary en ait profité pour utiliser son nom.

Auteur : Sir Arthur Conan Doyle – Éditeur original/lu : Ward Lock & Co/Barnes & Noble Inc – Publication : 1887

Re:ZERO -Starting Life in Another World-, Vol.22

Post publié le 04/02 mais antidaté pour correspondre vers la fin de lecture (23/01).

Presque deux semaines que je l’ai terminé, je n’ai rien noté et ai lu 3 autres livres entre-temps. Au secours.

De mémoire sur mon ressenti il se passe des choses mais rien de “très” important à part vers la fin.

Subaru s’est donc réveillé et s’est retrouvé enlacé par Shaula qui le prend pour son maître. On apprend plus loin que ce n’est pas tant par rapport au physique qu’elle le reconnait mais à l’odeur. Le nom de son maître est Flugel et il le reconnait car il l’a vu sur l’arbre qui lui a servi dans le combat contre la White Whale.
Et maintenant qu’il est de retour, la tour peut reprendre sa vraie fonction : grande bibliothèque de Pleiades
A noter aussi que Subaru remarque ses yeux étranges : verts avec comme trois petites pupilles rouges.
Au nom des étages qu’elle liste, il comprend qu’il y a un zéro mais elle lui répond à ce sujet que les prérequis ne sont pas remplis pour qu’il puisse y avoir accès.

Après s’être assuré que tout le monde va bien, les autres l’embarquent vers le l’étage de la première épreuve et après avoir réfléchi il réussit à résoudre l’énigme. Et il en veut à son créateur car c’est quelque chose que seule une personne comme lui, venant d’un autre monde, pouvait résoudre simplement.
Ils débloquent donc une bibliothèque qui renferme des livres avec des noms mais rein de précis. Subaru comprend mieux quand il prend le livre avec le nom de la Witch of Pride et se retrouve projeté dans ses souvenirs. Il s’agit de livres de la vie de personnes décédées et ouvrir le livre d’une personne que l’on a connu crée ce phénomène, sinon il ne se passe rien.
Peu certains de trouver quelque chose ici parce qu’en plus il n’y a pas de système de classement, ils décident de passer à l’épreuve suivante… mais il faut d’abord trouver l’escalier menant au deuxième.

Entre-temps, et parce qu’ils ont suggéré partir pour aller chercher des gens pour les aider à fouiller la bibliothèque, Shaula leur apprend qu’ils ne peuvent partir car il y a des règles :
1/ Interdit de partir tant que les épreuves n’ont pas toutes été complétées
2/ Interdit de briser les règles des épreuves
3/ Interdit d’être irrespectueux envers la bibliothèque
4/ Interdit d’essayer de détruire la tour en elle-même

Du coup ils sont coincés, même si Subaru lui a demandé de ne pas leur faire de mal.

Après avoir trouvé l’escalier au quatrième (les étages sont à l’envers) ils le montent et trouvent un épée plantée au sol que Subaru retire. Et apparait devant eux Reid Astrea, le légendaire premier Sword Saint et ancêtre de Reinhard. Lequel n’est pas du tout comme on s’y attendait et fait s’évanouir Shaula parce qu’il l’a eu traumatisée par le passé. Techniquement il est mort mais Flugel aurait réussit à garder comme une copie de lui dans la tour.

Quoiqu’il en soit l’épreuve est de le vaincre et c’est mal barré. Subaru/Béatrice se font dégager et Julius pareil. Anastasia vient d’ailleurs à son aide pendant son combat mais rien n’y fait et les deux sont au sol.
Seule Emilia le “bât” parce qu’elle a sans trop le faire exprès joué avec les mots, et vu qu’elle n’a pas réagit comme il el pensait à sa perversité, elle a réussit à le faire bouger. Mais sa victoire est pour elle, il faut que tous le battent pour poursuivre, du moins ceux qui souhaitent avancer.

Ils redescendent pour soigner Anastasia et Julius dans la salle de soin. Plus tard, Julius disparait et tous partent à sa recherche, et Subaru le trouve en train d’à nouveau affronter Reid mais forcément il ne réussit pas mieux.
Subaru l’embarque sur son dos puis l’aide à descendre malgré le refus de Julius, parce qu’il est passé par là quand Julius l’avait justement battu encore et encore, donc il sait ce qu’il pense.

Julius finit par s’excuser auprès des autres, et Subaru doit réfléchir car il est clair qu’ils ne passeront pas Reid comme ça. Il a beau avoir une image complètement différente de la légende, il n’en reste pas moins un adversaire expérimenté et redoutable.

Dans la nuit, Subaru, qui recherche Anastasia qui vient de filer de la salle de soin, voit un oiseau (même type que ceux qu’ils ont suivi jusqu’à la tour) et le suit pour découvrir un passage secret qui donne sur une terrasse sur un côté de la tour où elle se trouve.
Ils discutent et abordent évidemment le fait qu’elle se soit servi de ses pouvoirs et qu’elle n’est pas la vraie Anastasia, quand Julius arrive. Il pointe évidemment son arme vers Echidna mais écoute ce qu’elle a à dire et entend raison.
Il en veut cependant à Subaru, lui disant qu’il comprend pourquoi il ne lui a rien dit, surtout avec sa situation actuelle, mais surtout, il ne voulait pas que lui ou Lady Anastasia le pense inadéquat en tant que Knight.

Une fois les deux partis, il tombe sur Ram avec qui il discute (je supporte de plus en plus mal son caractère) et il semble avoir une idée pour passer Reid. Il s’éloigne et on n’entend que ses pas.

Le lendemain, il se réveille et réagit comme s’il venait d’arriver dans ce monde en s’exclamant : “Isn’t this just like those stories about getting summoned to another world?!”

Fin.

Et après on a un court interlude sur the Witch of Wrath.


J’avoue, les dernières pages avec ce passage m’étaient sorties de l’esprit, je sais pas du tout pourquoi parce que c’était quand même le gros twist de fin. Qui se recoupe certainement avec ce que je me suis spoilé de la fin du 23.

Je lirai la suite après avoir terminé ma lecture en cours, histoire d’enfin être à jour (au dernier EX près) vu que le 24 est prévu pour mars et que la fin (dont je me suis souvenu en relisant le passage pour le résumé) m’a remotivé.
Non pas que je sois vraiment démotivé, c’est surtout que je pense que j’arrive à saturation de la série, même si j’ai lu pas mal de choses au milieu.

J’aimerais terminer Baccano! aussi par exemple, mais avec 9 volumes en retard j’ai peur d’aller vers le même problème.

Auteur : Tappei Nagatsuki – Illustrations : Shinichirou Otsuka – Editeur : Yen Press – Publication : 2020/2023

Days at the Morisaki Bookshop

Fin de lecture : 20/01/2024

La Librairie Morisaki

The cat is a lie.
Non mais c’est fou parce que pas l’ombre d’un chat dans le livre, et il y en a un sur cette couverture et aussi la française. Je veux qu’on m’explique.

Sinon, 4ème de couverture française (bien que j’ai lu en anglais) :

Les jours passés à la librairie Morisaki resteront à jamais gravés dans ma mémoire. Puisque c’est là-bas que j’ai commencé à vivre, à vivre réellement. Sans cette parenthèse, ma vie aurait été bien moins colorée, bien plus monotone, bien plus triste. Un lieu précieux, inoubliable. Voilà ce qu’est la librairie Morisaki à mes yeux.

Takako a le cœur brisé lorsque Hideaki, l’homme qu’elle aime, lui annonce ses fiançailles. Dévastée, la jeune femme ne supporte plus de le croiser au travail et démissionne. Takako a bien du mal à remonter la pente… jusqu’au jour où elle reçoit un coup de téléphone de son oncle Satoru, qu’elle n’a pas revu depuis de nombreuses années. L’homme, un peu excentrique, est à la tête d’une vieille librairie d’occasion, implantée à Jinbôchô, le quartier des bouquinistes à Tokyo. Il lui propose de venir l’aider, et même de s’installer au premier étage de la boutique. Voyant enfin l’avenir lui sourire, Takako accepte et découvre parmi tous ces livres un nouveau langage qui lui était jusque-là inconnu…”

Je suis juste pas tout à fait d’accord avec le début de la dernière phrase, parce qu’elle n’y va pas vraiment avec le sourire et il lui faut un temps avant qu’elle ne le retrouve.
Mais sinon oui, agréable de la voir remonter la pente d’abord grâce à la lecture, puis avec d’autres choses. C’est quand même juste pas si simple que ça et à un moment il faut affronter le passé (beau s***** son ex quand même), et au niveau de Takako, elle ne reste pas indéfiniment dans cette librairie. Du coup on a quand même sur la deuxième partie une histoire en lien avec la librairie, mais le personnage que l’on suit n’est pas le bâtiment, donc du coup ça décroche un peu du titre.

Mais agréable donc, et sûr que niveau auteur japonais ça me change des light novels ^^;; Ça donne aussi envie d’aller s’intéresser aux auteurs cités, mais alors déjà que je dérive beaucoup de mon planning “rattrapons toutes ces LN en retard”, je vais éviter (en retard sur les posts mais sur 10 livres lus depuis le début de l’année, juste 3 LN).
La suite doit sortir cet été en anglais, à voir (je sais pas en français, pas indiqué sur le site de l’éditeur).

Auteur : Satoshi Yagisawa – Éditeur : Manilla Press – Publication : 2009/2023

The Wonderful Wizard of Oz

Fin de lecture : 16/01/2024

Le Magicien d’Oz

Jamais lu auparavant, jamais vu une adaptation non plus.

J’avais juste : Dorothy, Kansas tornade, lion, épouvantail, homme en fer, sorcière de l’ouest et magicien d’Oz. C’est tout.

Du coup c’était tout neuf comme lecture et les deux choses qui me gênent, sinon le reste ça va, sont que :
1/ je n’arrive pas à donner d’âge à Dorothy, donc du coup je la trouve trop efficace (un peu à la Alice bien qu’elle au moins on voit qu’elle s’embrouille dans ses connaissances à son âge (qui est connu)),
2/ le fait qu’elle ait une chance incroyable (sorti du fait de s’être faite embarquer par une tornade ^^;) et qu’elle se sorte bien des situations.

Après c’est pas le but du récit, clairement. Ici très rapidement on voit que ses trois compagnons n’ont pas les “manques” qu’ils se donnent, mais il faut qu’on leur change/donne quelque chose pour qu’ils continuent d’agir comme ils le font mais qu’ils pensent qu’à présent ils ont changé et que donc c’est bon.

Vu la simplicité et les messages (autres que ceux des trois compagnons), je comprends le succès. En plus c’est simple à lire et moins wtf que Alice’s Adventures in Wonderland dont on sent quand même l’inspiration.

Pas compris sur le coup quand j’ai recroisé une affiche du film et vu des chaussures rouges (parce que silver slipers), mais oui, Technicolor à l’époque donc ça ressortait bien mieux.

A voir si je lirai les suites (14 volumes pour toute la série quand même).

Auteur : L. Frank Baum – Illustrations : W. W. Denslow – Éditeur : George M. Hill Company – Publication : 1900