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The Garden of Words

Pour celui-ci et vu sa durée, j’ai préféré revoir l’anime avant la lecture.

Et je pense que ça irait dans les deux sens. Il y a beaucoup plus dans le roman au vu de l’ajout aux points de vue des personnages de Takao et Yukino, et du point de vue des autres personnages qui sont à peine effleurés dans le film (la famille de Takao, Itou, Aizawa), mais en ayant ces points de vue supplémentaires, chercher (et voir !) les subtilités dans les comportements et paroles de Takao et Yukino doit être intéressant.

Quoiqu’il en soit, c’était superbe et je n’ai pas pu le lâcher. Surtout que comme le dit Shinkai dans sa postface : il peut décrire des choses impossibles à faire en animation. Et à l’inverse, il a du mal à décrire quelque chose qui passerait très simplement en animation. Et d’avoir revu le film la veille, en fait j’avais le meilleur des deux mondes puisque j’avais encore le visuel magnifique du film en tête. Et en bonus j’ai eu la fin plus longue du livre qui offre une conclusion plus certaine.

Après, lire ce livre quand on se trouve dans une période un peu troublée de sa vie est un peu perturbant. On ne ressent pas ça du tout dans l’anime, mais le roman allant plus profondément dans le passé de Yukino, la vie de Shouta et même Aizawa, ça remue des choses.

Mais à lire en les tous cas. Si The Place Promised in Our Early Days ajoute au film mais donne après coup l’impression qu’il lui manque quelque chose, The Garden of Words ajoute mais le film reste sublimé, car on sait qu’il est court et ne se focalise que sur deux personnages sur six. Et qu’il joue aussi sur cette fameuse “atmosphère” que Shinkai a du mal à écrire mais qu’il sublime dans son animation. Donc à voir aussi : )

Auteur : Makoto Shinkai – Illustration : Makoto Shinkai – Editeur : Yen Press

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