
Plus connu chez nous sous le nom de Ace Attorney Investigation Collection.
Blague de ces collections : les deux de Phoenix Wright ne sont pas sortis en physique chez nous donc je les avais importé, avec aussi The Great Ace Attorney Chronicles (qu’il me faut faire un jour). Donc j’avais tout en physique sur PS4, bien jolis et coordonnés.
Et celui-là, Dieu sait pourquoi, ils l’ont sorti sur PS4 chez nous. Sauf que, maniaque, je l’ai quand même pris en import histoire d’avoir toutes les jaquettes/tranches coordonnées.


Au niveau des jeux, j’avais déjà fait le premier vu qu’il était sorti sur DS (et au passage j’ai la DSi Gyakuten Kenji), mais jamais le second en entier qui était sorti uniquement au Japon (une traduction anglaise existait quand même).
Donc du coup seul le second m’était vraiment inconnu, mais vu que je n’avais pas refait le premier depuis très longtemps, les deux m’ont bien amené de surprise en surprise. Surtout le second avec Verity Gavèlle qui nous fait un 180 de fou dans l’épisode 4. Je sentais comme Miles qu’elle agissait illogiquement comparé à avant où je l’aurais volontiers balancé dans le puits de la prison, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi percutant.
Ces jeux diffèrent des Phoenix Wright dans le sens où on suit un script qui nous amène automatiquement là où il faut, plutôt que de devoir repasser x tableaux en se demandant sur quoi on n’a pas cliqué. Là au moins on sait que tout est sur le lieu où l’on est, il faut juste penser à faire les connections et reparler aux gens si nécessaire. Du coup ça parle beaucoup et pour la fin je suis passé en mode avancée automatique vu que j’en avais marre de faire “croix” constamment…
Sinon on est sur le même concept où dans l’épisode 5 le lien est fait avec les précédents, quitte à te faire trop réfléchir parce que des détails te sont sortis de la tête et que tu as du mal à connecter.

Le jeu propose des nouveaux graphismes non pixels, mais j’ai préféré repasser sur la “bouillie” ci-dessous (absente lors des phases de dialogue) parce que je trouvais les nouveaux trop perturbants au niveau des personnages. Obligé de faire le test pour un trophée de toute façon ^^;

Comme pour les autres collections le jeu est aussi en français, mais je crois qu’à part le premier Phoenix Wright sur DS je n’ai ensuite jamais rejoué en français. Alors oui je passe à côté de l’accent marseillais de Eva Cozésouci (et je n’ose imaginer ce qu’ils ont fait ici avec sa subordonnée), mais j’ai toujours eu du mal avec le nom français de Miles, donc ça me va très bien : )
Bonne duologie en tous cas, ça change de le jouer lui et en plus on est rarement au tribunal tout en gardant l’aspect témoignage/contre-interrogatoire. Les intrigues sont toujours aussi tordues (un poil moins peut-être ?) et les personnages hauts en couleurs, surtout les adversaires des affrontements verbaux, le tout dernier dans le second jeu en particulier.
Bon par contre, Lang : si le président avait vraiment été poussé du haut du bâtiment de 50 étages, je suis pas certain qu’il aurait été reconnaissable -_-” <- c’était sa théorie la plus débile je crois.
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