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Ascendance of a Bookworm – Part 2, Vol.03

Suite !

Beaucoup de choses encore une fois, beaucoup de questions aussi parce que des choses se trament et on ne sait pas tout. Plus des nouveaux personnages qui apparaissent et qui ont certainement plus d’importance que ce que l’on pourrait croire.

Au fur et à mesure on cerne un peu plus Ferdinand aussi, et j’avoue être curieux de voir quel est son vrai statut et ses vraies raisons. Le Grand Évêque par contre je le crains, et la fin de l’épilogue ne laisse rien présager de bon pour la suite…

Le prologue nous montre une conversation entre Ferdinand et Karstedt, avec le premier demandant au second s’il accepterait d’adopter Myne, ce à quoi il répond oui. C’est la meilleur moyen que voit Ferdinand de la protéger suite aux répercussions qu’ont eu la débâcle de la dernière fois dans la forêt.

On passe ensuite sur Myne qui va avec Benno créer une guilde d’imprimerie, en prévision de son développement futur dans ce domaine. Elle croise Freida qui lui achète l’une des bibles et lui donne une idée pour ses prochains livres.

En sortant, ils sont coursés par Johann qui cherche un patron pour pouvoir garder son statut. Sans ça il ne pourra conserver son emploi. Après qu’on lui ait mieux expliqué qui était Myne, celle-ci accepte de devenir son patron et lui confie la tâche de réaliser des caractères mobiles, basés sur ceux de Gutenberg. Son projet est de recréer sa première presse. La tâche est immense mais Johann accepte, n’ayant pas trop le choix.

Ils négocient aussi avec la guilde des encres vu qu’elle a inventé un nouveau type, mais Benno se méfie et cache Myne. Bien lui en prend car peut après Lutz se fait alpaguer et des hommes louches essaient de se renseigner sur Myne. La guilde est en fait dirigée par ce qui passe pour un criminel de leur côté, mais quelqu’un de respectable avec beaucoup de liens avec les nobles de l’autre. Du coup, Ferdinand pense qu’ils essaient de se renseigner pour capturer Myne. C’est ce dont il parle avec Myne, Benno et Karstedt, et c’est à ce moment là qu’il lui soumettent l’idée de se faire adopter par ce dernier.

Mais Myne refuse et devient très émotionnelle. C’est partiellement la faute de Ferdinand vu qu’il lui a fait revivre ses mémoires et qu’elle s’est rendue compte à quel point sa famille était importante. C’est pour ça qu’elle refuse l’adoption, et Ferdinand est même obligé de s’isoler avec elle pour la calmer. Elle concède toutefois qu’il est plus prudent qu’elle reste cachée au temple et évite de sortir. Ce jour là, ils lui assignent aussi Damuel, l’un des gardes présents lors de son attaque, comme garde du corps. Celui-ci est en vie uniquement parce que Myne l’a défendu, l’autre a été exécuté et sa mère en veut énormément à Myne.

On passe ensuite à la vie au temple l’hiver où rien de bien notable ne se produit, juste que Myne aide tous les jours en donnant de son mana. Par contre le Grand Évêque semble leur donner du travail en plus (calices en plus à remplir) dont la provenance est douteuse. Par contre on n’en sait pas plus dans ce volume.

La fin de l’hiver pointe le bout de son nez et Johann a terminé son travail. Myne s’emporte tellement une fois qu’elle voit le résultat qu’elle s’effondre, non sans avoir auparavant donné le titre de Gutenberg d’abord à Johann, puis à tous ceux présents qui ont participé à l’aventure de l’impression. Elle se fait évidemment sermonner une fois revenue à elle et on lui demande en plus de de pas encore retourner chez elle car le maître de la guilde d’encre a été éliminé, ce qui montre que des gens sont toujours à l’oeuvre contre elle.

C’est à ce moment là qu’il convoque ses parents et leur explique la nécessité pour Myne d’être adoptée par un noble lorsqu’elle aura 10 ans. Il faut qu’elle puisse entrer à l’académie royale afin d’apprendre à contrôler son mana, sans ça elle risque l’exécution. Et pour ce faire, elle a besoin d’être noble et d’avoir une protection contre ses ennemis et ceux qui la veulent pour son mana. Son père ne veut pas mais sa mère accepte. Elle a vu qu’ils ont bien pris soin d’elle l’hiver et 10 ans est aussi en général l’âge où les enfants partent de la maison selon leur travail. Devant ça, Gunther accepte aussi.

Du coup elle reste jusqu’à son départ pour les prières de printemps, où ils doivent recharger en mana les villages environnant. Myne craint pour sa santé durant le voyage en carrosse mais au final ils ne l’utiliseront que pour faire certaines de leurs arrivées discrètes et partiront avec les bêtes ailées, seuls les aides partiront avec tout le temps. Les a rejoint également un prêtre bleu du nom de Sylvester qui passe son temps à embêter Myne, mais qui fait en fait parti de son cercle de défense.

Et ils font bien d’être prudents, car après une attaque nocturne où Myne était visée mais où les intrus sont tombés sur Karstedt, le carrosse est à un point pris en embuscade par de la magie lancée par un noble inconnu (mais probablement d’un duché voisin) et des fermiers. Myne voyant ça de haut ne pense qu’à protéger ses aides et aurait sans nul doute lancé une attaque dévastatrice si Ferdinand ne l’avait pas plutôt guidée pour qu’elle fasse une protection autour du carrosse. Celle-ci s’exécute et fait un dôme parfait qui utilise une grosse partie de son mana, Ferdinand devant utiliser une potion d’urgence immédiatement.

Après tout ça Myne est évidemment alitée puis soignée avec des potions pour qu’il puissent reprendre leur tâche. A leur retour, Ferdinand lui demande de rester encore quelques jours pour être certain qu’elle va mieux. Sylvester demande à ce que lui soit montré l’orphelinat et la forêt. Ferdinand l’accompagnera pour l’orphelinat, où Benno sera également présent. Et c’est là qu’on se pose des questions sur Sylvester car la réaction de Benno est très étrange et il ne dit rien derrière. On comprend juste que Sylvester doit être quelqu’un de très important. La réaction de Ferdinand par rapport à l’éducation des enfants et aux invention de Myne, notamment l’imprimerie est du niveau choc.

Le lendemain Sylvester part dans la forêt chasser avec les enfants et ramène pas mal de gibier. Il donne aussi un pendentif à Myne en lui disant que si elle a un jour besoin d’aide, d’y mettre de son sang et qu’il arrivera pour la sauver. C’est un charme de protection et il lui dit bien de ne jamais s’en séparer.

Ferdinand convoque Myne et lui demande plein de renseignements, surtout sur les répercussions que cette technologie d’impression et la prolifération des livres pourraient avoir. Elle lui explique l’impact que ça a eu en Europe (économiquement et socialement), mais ce monde étant différent il est possible que ça ne soit pas les mêmes ici. Elle lui montre aussi les différences qu’elle a pu voir entre la ville et la campagne concernant l’importance de la religion dans leur vie. Quoiqu’il en soit, Ferdinand lui interdit de lancer de l’impression de masse avant d’être adoptée. Il lui propose même de se faire adopter plus tôt pour qu’elle puisse commencer immédiatement, mais elle reste sur sa position et refuse.

Et revoir sa famille le soir la conforte dans sa décision. Voir son petit frère Kamil naître le lendemain aussi. Et elle se dit que se dédier à préparer tout ce qu’il lui faut pour pouvoir être prête dans deux ans va de toute façon l’occuper, surtout si elle veut faire des livres pour accompagner la croissance de Kamil.

Dans l’épilogue, on revient sur Delia qui est souvent laissée à part vu qu’elle est toujours une espionne pour le Grand Évêque et souhaite devenir sa concubine (mon Dieu). Sans trop avoir de détails, elle informe que quelque chose nécessitant une célébration s’est passé dans la famille de Myne. L’aide qui est là l’informe qu’un visiteur important va bientôt arriver et qu’il aime les enfants. Delia s’imagine déjà avec ce noble et n’entend pas ce qui est dit ensuite : qu’il cherche un enfant qui a le Devouring.

J’ai très souvent envie de baffer Delia… J’espère vraiment qu’elle tombera de haut d’un moment. Son comportement comparé au traumatisme de Wilma est atterrant. Après c’est aussi atterrant que pour elle tout ça soit normal. Bien que bon, c’était pas mieux dans l’histoire bonus d’Ella la dernière fois.

Au niveau des histoires bonus de ce volume, la première est sur Damuel qui comprend en discutant avec Ferdinand que lui aussi ne respectait pas Myne. Les choses ont changé depuis, et il accepte l’offre de travail de Ferdinand qui lui permettra de rembourser sa dette. L’autre revient sur Johann et le succès de sa requête qui lui permet de garder son travail, ainsi que sa non acceptation du titre de Gutenberg.

De mon côté, je trouve triste que Myne ne puisse passer que deux ans auprès de son petit frère. Elle travaillera pour lui par la suite en faisant des livres et donc au final aidera certainement à l’éducation de toute une génération et à changer l’histoire, mais quand même.

Très intrigué aussi par Sylvester et j’ai très envie que le Grand Évêque morde la poussière…

Voilà, reste que forcément je meurs d’envie de lire la suite. Je ne pense pas trop traîner d’ailleurs.

Auteur : Miya Kazuki – Illustrations : You Shiina – Editeur : J-Novel Club

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