Web Analytics

Miss Marple: The Complete Short Stories

Fin de lecture : 27/12/2023

Ça n’est absolument pas la bonne couverture mais j’ai pas trouvé pour ce que j’avais. En fait dans le volume en couverture, il y a une vingtaine de nouvelles de Miss Marple, et le reste c’est autre. Dans la collection que j’ai lu, j’ai juste les 20 nouvelles. Après par rapport à ce qui est sorti à l’origine et en français, ça colle, me manque juste deux histoires du second volume qui en fait n’ont pas Miss Marple. Donc ça va.

Du coup je vais lister que j’ai lu The Thirteen Problems (Miss Marple au Club du Mardi) et Miss Marple’s Final Cases and Two Other Stories (Miss Marple tire sa révérence), minus évidemment les deux “other stories”, que je trouverai bien un jour au détour d’un recueil. Si c’est le cas et que j’y pense, j’éditerai ce post.

Et les nouvelles de The Thirteen Problems sont juste excellentes. Meilleur recueil que j’ai lu jusqu’à présent. Pas de continuité forcée, Miss Marple est juste adorable/excellente. A l’époque ça a dû être un plaisir de lire ça entre les deux premiers romans de ses aventures.

Celles de Miss Marple’s Final Cases sont aussi bien, mais elles sont plus dissociées parce qu’on avait le fil rouge du “club du mardi sur le précédent recueil, et c’est normal vu que celles de ce livre proviennent de différents recueils. Beaucoup aimé Sanctuary ici.

Deux bons recueils donc, avec nette préférence pour le premier. Chaudement recommandé pour ceux qui aiment Miss Marple.

Auteur : Agatha Christie – Éditeur : HarperCollins – Publication : 1939 et 1979

Le parfum de la dame en noir

Fin de lecture : 24/12/2023

Suite directe (bien que du temps se soit écoulé) du Mystère de la chambre jaune en fait, vu qu’on suit le gros hint que nous a laissé l’auteur dans celui-ci, en parlant déjà de ce parfum.
C’était assez évident de savoir exactement de quoi il retournait exactement, mais j’avoue que ça tourne beaucoup autour de ça dans celui-ci, et je l’ai trouvé bien moins intéressant que le précédent.

On a plus du tout un mystère à élucider, du moins pas avant vers la fin, on est plus sur du “il faut nous protéger de la menace”, mais c’est très long parce qu’au milieu on a les émois (que je peux comprendre) de Rouletabille, et c’est long.
Du coup je crois que ça m’a déconnecté un peu de l’intrigue parce qu’en plus c’est encore Sinclair qui raconte et il fait ça bien dans l’ordre, et vu que Rouletabille ne se confie pas ou n’avance pas vraiment parce que pendant un long moment il ne se passe pas grand chose en fait, j’ai trouvé la première partie très laborieuse.

Après il y en a huit dans la série et encore une fois il nous est indiqué autour de quoi va tourner sa prochaine aventure, et ça je trouve que c’est pas mal fait. C’est un point qui arrive pour activer les choses et est en cohérence avec ce qu’il se passe, et ça amène vers le lieu du prochain roman.

Je pense que je lirai les 6 autres. Il y a peu de chances qu’il y ait autant de longueurs qu’ici… enfin je sais pas, on verra bien du coup.

Aussi lu en version ebook domaine public. Heureusement que les plans sont trouvables pour s’orienter un peu.

Auteur : Gaston Leroux – Éditeur : Pierre Lafitte & Cie – Publication : 1908

The Mysterious Mr Quin

Fin de lecture : 22/12/2023

Je crois que je n’avais jamais lu ces nouvelles, le personnage de Quin ne me disait absolument rien.

Recueil de 12 nouvelles qui présentent Mr Satterthwaite, lequel croise le mystérieux Harley Quin et qui au cours de conversations résout des mystères.

Au départ ça part assez bien, mais on sent le surnaturel qui entoure Quin, et la dernière nouvelle met bien l’accent là-dessus, “remettant” un peu Mr Satterthwaite à sa place.

Bien aimé la première (The Coming of Mr Quin) et la cinquième (The Soul of the Crouper), les autres aussi sont bien mais celles-ci m’ont plus marqué.
Ce qui change est que sur pas mal la résolution est rétroactive, et donc ils repassent les faits plusieurs années après. Du coup c’est une perspective changée qui permet de résoudre les affaires. Ça m’a rappelé Five Little Pigs qu’elle publiera bien plus tard.

Auteur : Agatha Christie – Éditeur : HarperCollins – Publication : 1930

The Daughter of Time

Je suis tombé sur une liste intitulée The Top 100 Crime Novels of All Time, dont ce titre était le premier, et il m’a intrigué. Et encore plus quand il n’est nulle part fait mention d’une fille, mais qu’en fait le titre fait allusion au proverbe “Truth is the daughter of time”.

Très compréhensible quand on sait qu’en fait ce roman est l’enquête d’un policier de Scotland Yard cloué au lit à l’hôpital qui se retrouve intéressé par le portrait de Richard III, homme que de visu il placerait sur le banc des juges alors que l’Histoire l’a mis sur celui des accusés, et le considère comme un monstre qui a tué ou fait tuer ses neveux pour accéder au trône. Et étant donné que les corps n’ont jamais vraiment été retrouvés parce que ces enfants ont surtout “disparus”, ça en fait un grand mystère.

Et notre détective Grant, en enquêtant avec l’aide d’un jeune Américain qui faisait des recherches sur un autre sujet, se rend compte que des choses ne collent pas, l’une des premières étant que l’historien ayant la plus grande autorité sur le sujet et étant “contemporain” des événements, Thomas More, avait 5 ans lors du couronnement de Richard III, moment aussi présumé de la mort des deux neveux, et 7 à la mort du Roi.

S’ensuit donc une investigation en utilisant des méthodes plus policières pour déterminer quel élément rechercher, et franchement, bien que parfois je me sois perdu dans les noms parce que ce n’est pas notre histoire (je me perdrais certainement aussi dans la notre, mais bon point que son aide soit américain parce qu’au moins des choses étaient explicitées), c’était passionnant.
Le découpage est bon et quand on ne connait pas, ça crée des rebondissements alors qu’on parle de faits qui ont eu lieu des siècles auparavant.

Ça interroge aussi, parce qu’au bout du compte, ici encore on a une théorie de ce qui a pu se passer, et il doit y avoir des livres plus officiels qu’un roman (j’ai pas le mot, mais que du coup on va prendre plus au sérieux) qui ont cette théorie ou une autre et qui sont plus précis/vont plus loin, vu que des gens cherchent à le réhabiliter. Et ça donne envie d’en lire plus en fait.

Au final, je suis allé à l’aveugle dans cette lecture, mais je n’en regrette pas une minute.

Auteur : Josephine Tey – Éditeur : Peter Davies – Publication : 1951

Adachi and Shimamura, Vol.11

Avant dernier volume en théorie… parce que le 12 est supposé être le dernier mais que dans la postface l’auteur tease des spéciaux, et le mois dernier sont sortis au Japon les volumes SS (Side Stories ?) et 99.9, mais pas de 12 officiel.
Bon par contre je pense pas qu’on verra la suite de la traduction officielle avant encore un an :/

Du coup, plusieurs chapitres ici qui tournent autour de l’été et de Shimamura.

Le premier nous pose Adachi et Shimamura à 22 ans, ensemble, et prêtes à partir en voyage.

Le second revient sur Shimamura à l’âge de 8 ans, ouverte et très amie avec Tarumi et son été passé à la piscine. Elle croise Adachi sur la fin, sans savoir qui elle est.

Le troisième voit la mère de Shimamura faire des courses avec Yashiro. Intéressant pour le fait que Yashiro donne des infos sur son origine.

Le quatrième revient sur Shimamura à 15 ans, dans sa dernière année de collège. Là elle est dans une phase plus froide car elle se ferme, et alors que le matin elle s’entraine à tirer au basket (alors qu’elle a quitté le club), elle rencontre un femme qui a l’air un peu louche et croire aussi une sempai du collège. Au final elle se demande si cette femme n’est pas une sorte de premier amour pour elle. Et à la fin elle entrevoit quelqu’un qui est certainement Adachi.

Le cinquième est une saynète Hino/Nagafuji à 18 ans aussi.

Le sixième voit Shimamura à 18 ans chez elle. Adachi la rejoint peu après pour étudier (examens pour l’université) mais ça passe rapidement sur autre chose de plus intime.

Dans le septième, la sœur de Shimamura recroise l’autre alien, la suit et discute un peu puis rentre chez elle (ça a l’air de se situer sur le même jour que le troisième).

Et dans le dernier, on a le voyage des deux où elles vont vers l’océan à l’est. C’est un pré-voyage de fin d’études car Shimamura voudrait partir à l’étranger pour celui-ci. A la sortie de la gare elles voient un pousse-pousse, lequel est conduit par la sempai du chapitre 4. Elles font évidemment un tour avec et la jalousie/possessivité de Adachi ressort encore une fois. La sempai serait prête à voler Adachi à Shimamura si celle-ci la lui laissait, mais elle refuse.
On termine sur les mots de Shimamura pour Adachi, lui disant qu’elle se demande si en fait elle ne l’aime pas plus que ce qu’elle pensait.

Ça fait plaisir de les retrouver après tout ce temps mine de rien. Beaucoup plus centré sur Shimamura du coup, mais ça revient sur ses diverses phases avant d’arriver à qui elle est aujourd’hui. Et on a déjà vu pas mal du passé de Adachi aussi.

A priori les deux prochains, du moins le premier, a des histoires qui ont été appréciées et que l’auteur estime un de ses meilleur travail. A voir.

Aussi, j’y repense, le découpage avec les phases de Shimamura me rappelle le premier volume de Bloom into You : Regarding Saeki Sayaka (même auteur), dans lequel justement on repasse sur deux périodes de la vie de Sayaka avant sa rencontre avec Touko. Périodes où elle rencontre les premières femmes de sa vie, ce qui lui permet de s’accepter quand elle fait la connaissance de Touko.
J’ai tendance à relire le manga chaque année, faudrait que je le fasse pour ces romans un jour…

Auteur : Hitoma Iruma – Illustrations : Raemz – Éditeur : Seven Seas – Publication : 2022/2023

Le mystère de la chambre jaune

Lu (relu ?) à cause des podcast encore et du fait qu’Agatha Christie admirait ce livre.

Et c’est dingue comme j’étais persuadé de l’avoir déjà lu avec justement l’impression de connaitre la fin, alors qu’en fait je confonds avec The Murders in the Rue Morgue de Edgar Allan Poe, dont en plus il est fait référence dans celui-ci. Clair que si je l’ai eu lu, j’ai du partir du même postulat.

Je comprends sa fascination pour l’œuvre du coup, et on y voit des mécanismes qu’elle utilisera dans ses livres (elle a pu en puiser ailleurs, mais là que beaucoup sont frais dans ma mémoire, j’en ai vu ici).

En tous cas il se lit très vite vu qu’on veut savoir le fin mot de ce mystère où on le rappelle, la fille du professeur Stangerson, Mathilde Stangerson, se trouve victime d’une tentative d’assassinat dans ce qui au final est une chambre close : petite lucarne avec barreaux et volets clos de l’intérieur, pas de cheminée, une seule porte fermée de l’intérieur qu’il a fallu défoncer pour entrer. Le jeune journaliste/enquêteur Joseph Rouletabille va sur place, bien décidé à avoir accès aux lieux et à résoudre le mystère.

Je n’avais pas du tout la fin avec la double identité (normal), mais j’ai mis mon doigt sur le coupable à un moment, je ne sais plus pour quelle raison par contre. Possiblement un certain objet, ou un certain événement, j’hésite, mais il m’a semblé louche à un moment.

Sinon, j’ai pris le suivant des Rouletabille du coup, Le parfum de la dame en noir, parce que c’est beaucoup mentionné et encore rappelé à fin. Et un truc me chiffonne dans des choses dites. Si j’ai pas la réponse dans le roman suivant, je pense que je chercherai à me spoiler.

Et parfois je me dis que je fais des phrases trop longues et que j’abuse des virgules (pas qu’ici, au travail aussi). En fait c’est rien en comparaison avec ce livre, mais au moins je comprends ce que doivent ressentir les personnes qui me lisent.

Note : j’ai lu la version ebook du domaine public mais ai pris une couverture mieux pour illustrer le post. A la base j’en aurai pris une autre mais quand j’ai vu qu’ils disaient que Sinclair était photographe… non.

Auteur : Gaston Leroux – Éditeur : Pierre Lafitte – Publication : 1907

Partners in Crime

Fin de lecture : 15/12/2023

Le crime est notre affaire

Lu en anticipation pour les podcasts donc, comme si je pouvais pas sauter l’épisode pour plus tard.

Petites aventures de Tommy et Tuppence en tant que détectives, avec un fil rouge qu’on perd assez rapidement et qui du coup se conclut vite à la fin.

Ça reste agréable à lire mine de rien, avec des nouvelles qui sont plus ou moins bonnes. 

En fait le point positif de ce recueil, c’est que, bien que les affaires soient pour la plupart sérieuses, Tommy et Tuppence “jouent” aux détectives. Ils sont férus de lecture et cherchent à interpréter plusieurs de leurs héros, et c’est très drôle, mais donne aussi envie de lire ces détectives.

Après, vu que j’avais écouté peu de temps auparavant le podcast sur The Big Four (Les quatre), me souvenant de ce qu’ils avaient dit dedans et quand je vois la fin du fil rouge… eh bien je languis d’écouter le podcast pour voir s’ils se souviennent de ce qu’ils avaient dit. Parce qu’autant ma mémoire peut me faire défaut (fort possible car j’ai commencé à (re)lire tous les Agatha Christie en 2018 (25 lus) puis ai fait une grande pause avant de reprendre en 2022), mais c’est le seul (pour l’instant) où j’y vois une référence. 

Très léger donc, c’est le genre de lecture qui fait plaisir et qui découpe avec d’autres plus sérieux.

Auteur : Agatha Christie – Éditeur : HarperCollins – Publication : 1929

Hickory Dickory Dock

Fin de lecture : 11/12/2023

Pension Vanilos

Bon, je suis allé voir l’explication du titre français, donc j’ai pas trop à redire.

Si comme moi on avait zappé les nouvelles jusqu’à présent (et sachant qu’elle n’apparait pas dans le premier recueil), on fait ici la connaissance de Miss Lemon, la secrétaire efficace de Hercule Poirot, qui se trouve être un peu moins efficace que d’habitude car perturbée par ce dont lui a parlé sa sœur.
Pour retrouver l’efficacité de sa secrétaire, Hercule Poirot décide d’entendre l’histoire. Sa sœur, Miss Hubbard a la charge d’une pension où des vols de plus ou moins grande importance ont eu lieu.
Poirot enquête et au final quelqu’un avoue une partie des larcins, mais cette personne meurt peu après. Suicide comme telle est présentée la mort ou meurtre ? Il est temps d’enquêter plus.

Bien aimé. Je connaissais pas du tout Miss Lemon vu que je n’ai pas lu les nouvelles (mais a priori elle n’était pas très décrite) et ça a l’air de donner de bonnes interactions. Encore une fois, c’est marrant d’écouter ce podcast parce que parfois, des choses dites parce qu’ils sont au début de sa bibliographie se trouvent contredites dans de futurs romans. Comme là pour le/la coupable.

Je vais passer sur des nouvelles pendant un certain temps histoire donc de coller aux podcasts. Au moins je peux couper avec un roman sans trop de souci.

Auteur : Agatha Christie – Éditeur : HarperCollins – Publication : 1955

Doctor Who and the Daleks

Fin de lecture : 09/12/2023

Lu en plein visionnage de l’histoire en question, et d’entrée j’étais en mode wtf. Bon alors la version roman de la première histoire a été publiée bien après (17 ans), mais c’est posé comme si justement celle-ci n’avait pas existé. 

Et c’est tout du point de vue de Chesterton, donc narré complètement différemment, avec zéro pov des autres. 
Son personnage et celui de Barbara sont assez différents aussi, vu que de base dans la série on suit ce qu’on a appris d’eux dans la première partie et là leurs métiers sont un peu différents, seul le rapport de Barbara avec Susan est assez similaire (tutrice). Du genre que s’ils “disparaissent” (dans un TARDIS par exemple), moins de questions pourront être posées (forcément). Je sais pas si c’est abordé d’ailleurs ça au début dans Classic, alors que dans New Who ça l’est directement avec Rose disparue pendant quelques mois. 

Les caractères aussi sont différents, il y a vraiment un moment clé avec les Thals où Ian et Barbara sont carrément dans le camp inverse. Étrange. Mais du coup mes impressions sont ambivalentes sur le personnage de Ian. J’ai quand même plus de sympathie pour le Ian de la série que celui du livre au final, bien que la série donne l’impression qu’il attend le dernier moment pour prévenir les Thals contre les intentions des Daleks.

J’oublie de revenir sur l’histoire moi du coup :
Version livre : Ian rencontre Barbara dans un brouillard monstre alors qu’il vient d’échouer à un entretien d’embauche, et celle-ci a eu un accident alors qu’elle ramenait son élève (Susan) chez elle. Celle-ci a disparu et elle la cherche. Ian décide de l’accompagner, voit l’accident, ils tombent sur le Docteur qui ensuite s’éloigne, puis voient une Police Box qu’ils essaient d’ouvrir. Le Docteur arrive, tente de les éloigner mais ils font demi-tour quand ils voient qu’il a la clé, et forcent leur entrée. Après comme pour la première histoire, le Docteur met en marche le TARDIS et ils se retrouvent sur la planète Skaro où toute la nature est pétrifiée.
Ils voient une ville en contrebas et le Docteur fait croire qu’il leur faut chercher du mercure pour pouvoir repartir afin d’explorer la ville. Ville dans laquelle ils se font capturer par des Daleks. Susan est libérée le temps d’aller chercher un possible antidote pour eux (Docteur, humains et Daleks) car ils sont victimes de radiation et rencontre un Thal. S’ensuit une “négociation” avec les Daleks qui évidemment tourne mal, et voyageurs et Thals devront s’allier contre les Daleks.
Version série : Nouveau voyage en urgence au vu de la fin de la fois dernière, ils atterrissent sur Skaro, pareil que ci-dessus avec des interactions en moins et des différences de caractère.

En tous les cas, même si le livre est intéressant, la série l’est plus pour avoir le point de vue d’un peu tout le monde, et surtout des Daleks en fait (j’aime les Daleks).
Par contre en arrivant de New Who ça fait bizarre de voir le Docteur être sur Skaro et ne pas savoir qui sont les Daleks (bon seconde histoire, je suis pas certain que le background complet des personnages soit construit). Mais ses actions ici expliquent l’animosité des Daleks envers lui au final.

Aussi, la “romance” de fin est complètement différente entre les deux versions. Ce qui me fait me demander si dans les adaptations suivantes ça continue ou pas, d’autant que toute la suite de la saison a été écrite par d’autres auteurs dans les années 80. Ou si à force c’est incorporé dans la série. A voir.
Faudrait que j’essaie de faire visionnage -> lecture à chaque fois, mais c’est parfois long mine de rien avec 6 à 8 épisodes de 25 minutes par histoire. Après ce qui est long c’est le fait années 60 : c’est pas du tout dynamique niveau réalisation ou action, et il est clair que ça fait moins “cheap” de lire au niveau des effets spéciaux (les débuts de New Who sont parfois pas mieux, j’avoue ^^;).

Par contre si je me mets à regarder et lire Doctor Who Classic, je suis mal barré vu qu’en regardant le planning des sorties des séries que je lis j’ai vu que j’avais 6 volumes de retard sur des “à jour”… Oups.

Auteur : David Whitaker – Éditeur : Target Books – Publication : 1964

Doctor Who and an Unearthly Child

Fin de lecture : 05/12/2023

Lu parce que je pense que je vais regarder doucement Classic Who vu qu’il sont dispos en streaming, et parce que le premier épisode (histoire ?) n’est pas en streaming rapport aux droits (que la BBC n’a pas). Et ça faisait bizarre de regarder la seconde histoire sans savoir comment tout ce monde en était arrivé là.

J’avais regardé déjà ces épisodes trouvés ailleurs, mais ça remonte à un moment et je n’avais pas de subs, donc je me suis dit que j’allais le lire. Et il colle au souvenir que j’ai du visionnage. 

Vu que j’avais aussi vu passer un commentaire sur l’auteur qui disait que ses adaptations étaient dynamiques, je dois dire que c’est assez vrai. Bien agréable à lire, mais le Docteur n’est pas particulièrement sympathique. Rien que le fait que globalement il enlève Ian et Barbara ça ne met pas tout de son côté d’entrée de jeu.

Après c’est le début, et il faut bien trouver des gens normaux pour voyager avec le Docteur, sa petite fille n’étant pas suffisante, et il faut aussi “trouver” le personnage du Docteur. J’avoue que par rapport à mon introduction à la série par le 9ème Docteur, ça fait une sacré différence.

Et sinon, le “Unearthly Child” est la petite fille du Docteur que ses professeurs Barbara Wright et Ian Chesterton trouvent “étrange”, limite “unearthly” donc, de par ses connaissances et lacunes. Ils décident de lui rendre visite à l’adresse qu’elle a donné à l’école et se trouvent dans un capharnaüm où traine une Police Box d’où ils entendent sa voix. Le Docteur arrive sur ces entrefaites, essaie de le faire partir mais en entendant à nouveau sa voix ils forcent l’entrée de la Police Box et se retrouvent à l’intérieur du TARDIS.

Craignant pour sa sûreté/confidentialité, le Docteur refuse de les laisser partir, met en route le TARDIS et ils se retrouvent à l’âge de pierre. Où tout ne se passe pas bien vu qu’ils vont se retrouver mêlés à une dispute de clan liée au feu.

Ce qui reste drôle c’est que 1/ le TARDIS en fait déjà un peu à sa tête niveau voyage, et 2/ ils arrivent et ça tourne mal. Comme à présent quoi : )

Auteur : Terrance Dicks – Éditeur : Target Books – Publication : 1981